Face à cette crise du logement, il convenait de réagir. Agir auprès des pouvoirs publics, du gouvernement, de la Banque de France, mais aussi auprès des facteurs d’opinion. C’était le rôle du CSF qui continuera d’informer sur la réalité des obstacles actuels et sur l’urgente nécessité d’une politique cohérente du logement. Mais agir, c’était aussi la préoccupation des présidents de commissions départementales, des directeurs d’agences, des personnels du siège. Il se sont réunis en quatorze ateliers, à l’occasion du Congrès de Marseille. Ensemble, ils ont défini les moyens de mieux faire connaître les services du CSF, d’utiliser les réseaux sociaux et les nouveaux moyens de communication. Les fonctionnaires ont besoin de davantage de soutiens dans cette période, et nous allons leur apporter. Il s’agit de faire face à la crise du logement. Benoît Hoine, directeur général du CSF, a présenté devant l’assemblée générale les résultats d’une gestion résiliente qui a abouti à enregistrer un résultat supérieur aux prévisions budgétaires. Faciliter les relations avec les adhérents, développer des outils informatiques capables de simplifier les parcours, tirer tout le parti possible de la confiance accordée au CSF par les administrations et les établissements, tels ont été les instruments de ce sursaut. « Notre positionnement doit rester celui d’une association et d’un acteur de l’économie sociale et solidaire, respectueux de nos valeurs », a-t-il souligné.